Il y a trois ans, le candidat démocrate à l'élection présidentielle américaine, Al Gore, proposait de faire du secteur de l'environnement l'un des moteurs de la croissance économique.

Vendredi 21 novembre, Al Gore était à l'ONU pour participer au premier "sommet des investisseurs institutionnels sur le risque climatique", organisé par Global Compact, la division de l'ONU qui promeut auprès des entreprises un certain sens de l'éthique et de la responsabilité.



Idée de base : le réchauffement climatique menace aussi les actionnaires et les fonds de pension.



Suite de l'article du Monde