Lors de l'analyse comparée de débris fossiles de néanderthaliens et des premiers hommes modernes, une équipe de recherche internationale, dirigée par le Professeur Svante Paabo de l'Institut Max-Planck pour l'anthropologie évolutive situé à Leipzig, a conclu que les premiers ne se sont pas mélangés aux seconds...

... et ne leur ont donc transmis aucune partie de leur patrimoine génétique.
Leurs
travaux ont fait l'objet d'une publication dans le journal PLoS Biology de mars
2004.







Source & infos complémentaires :
Agence pour la Diffusion de l'Information Technologique
Ambassade de France à Berlin