La Classe A fait peau neuve. L’occasion de se dédoubler en une version trois portes d’allure sportive, et de prendre de l’enbonpoint pour mieux satisfaire les familles urbaines et chic. Au programme, trois Diesel CDI inédits et un essence de 193 ch.

Par Roman Scobeltzine, le 21/06/2004 pour Le Quotidien Auto.com



Après sept ans de commercialisation et plus de 1,1 millions d'exemplaires, la Classe A cède la place à sa remplaçante. Malgré ses déboires à son lancement (un tonneau survenu sur un parcours d'essai) qui avait bien failli compromettre sa carrière, ce monospace citadin s'en est bien sorti en devenant bien vite la coqueluche d'une clientèle chic et urbaine, souvent féminine. Audi a tenté le même pari avec son l'A2, mais avec moins de succès.



La seconde génération se doit donc de succéder dignement à sa devancière, conceptuelle et originale lors de ses débuts. Ainsi, pour étendre son champ d'action, la nouvelle Classe A se décline en trois ou cinq portes. La première carrosserie se veut plus dynamique et l'autre davantage tournée sur la famille.




Le style gagne en agressivité avec des optiques avant effilées, de gros feux taillés en pointe, une nervure latérale courant le long de la caisse ou encore des passages de roues élargis. La découpe de la vitre de custode et la lunette arrière font clairement écho à l'ancienne version. Un trait désormais caractéristique de la Classe A.




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