C’est en surfant qu’on fait de temps en temps de belles rencontres : En premier il y a eu Cambou, artiste Français, musique et dessins , Zorha une artiste, d\'\'une mère vietnamienne et d\'un père algérien, et là ce week end dernier Farel Pierre, des visages, sans visages, mais qui en disent beaucoup .

Sarreti l\'ochji. Una cità tamanta, à l\'annuttà. L\'omu hè solu è pari spapersu, furmicula minuta à mezu à i grattaceli è à i palazzi alluminati… : una stretta qui, a Traversa culà, è po stu ponti tamantu…Hè à u crucivia di a so vita propria. Paura un hà, è viaghja, com\\\'è in cerca di mondi novi. A musichetta chi u chjama un la pudeti micca senta. In fondu à u carrughju u piu desertu è u piu bughju di u corpu di a cità, l\\\'aspetta u jazz… Piglietivi di curaghju è spalancheti a porta di ista cantina…

Fermez les yeux.
Une ville immense, à la tombée de la nuit.
L'homme est seul et semble perdu, petite fourmi aux pieds des gratte-ciel et des tours illuminées… : une ruelle ici, l'Avenue là, et puis ce pont immense…Il est au carrefour de sa propre vie. Il marche sans peur, comme à la recherche de mondes nouveaux. Une petite musique l'appelle, mais vous ne pouvez pas l'entendre. Au fond de la rue la plus sombre et la plus déserte du ventre de la ville l'attend le jazz…
Prenez votre courage à deux mains et ouvrez la porte de cette cave…



suite & source 1 >> Cambou
suite & source 2 >> Zorha
suite et source 3 >> Pierre Farel

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