Depuis la déclaration de Laure Manaudou, . . . Puis, elle s'est enfin expliquée devant la presse pour la première fois depuis que son exil de l'autre côté des Alpes est acquis. «Ça s'est bien passé (lors de sa rencontre avec Lucas, ndlr). Je lui ai expliqué mon choix. Il n'y a pas de conflit entre nous. On s'est parlé normalement. On ne se déteste pas. On ne peut pas se quitter en mauvais termes. Je ne dis pas que Philippe n'était pas un bon entraîneur, mais j'avais envie de voir autre chose. Mais c'est sûr que désormais, entre nous, ça ne sera plus pareil.»
Celle de son ex entraîneur, Philippe Lucas, que je site aussi : Une mise en place d'un suivi médical français pour la nageuse qui a rejoint le club de LaPresse à Turin. Et encore : Laure part parce qu'elle a envie de moins travailler, elle fuit le travail !
Mais en Italie le chant du coq change et prend depuis quelque temps un autre ton !

Et la Fédération italienne, si elle s'est déclarée "très fière" de l'arrivée de la championne, a également vivement conseillé à l'ex-protégée de Philippe Lucas de... ne pas venir s'entraîner en Italie. "Pour elle, pour son futur, pour ses succès à venir, la Federnuoto préfère qu'elle ne vienne pas s'entraîner en Italie... Elle a gagné tant de titres avec son entraîneur et son programme d'entraînement. Pourquoi changer maintenant ? Surtout à 15 mois des jeux Olympiques." Et là P. Lucas ajoute que :
« J'ai de bonnes relations avec certains entraîneurs, dirigeants de la natation italienne. Ce sont des connaisseurs (...) qui ne veulent pas prendre de risques par rapport à Manaudou. Si elle va en Italie et qu'elle ne marche pas, c'est sûr qu'on dira que c'est la faute de la fédération italienne, alors que ce n'est pas la faute de la fédé, c'est la faute de la décision de Laure. Je n'ai pas à prouver les résultats que j'ai eus. C'est elle qui doit maintenant prouver que sans moi, elle est capable d'être au niveau. J'ai toujours dit qu'elle était à 70% de son potentiel et je continue à le dire

Différentes sources