©

La science contre Jean-Marie Le Pen

L’intrusion, au second tour de l’élection présidentielle française, d’un vendeur de racisme, a provoqué des remous bien au-delà de la patrie de l’égalité et de la fraternité...


Même la revue britannique Nature, qui représente la crème de la crème de la recherche scientifique mondiale, s'en est mêlée. Dans l'éditorial de son édition du 25 avril, elle écrit que ce signal d’alarme rappelle à tous les citoyens responsables, "incluant les scientifiques", qu’ils n’ont pas le droit de se désengager du débat politique.


La science est évidemment absente de ce débat politique. Comme elle a été absente de la campagne électorale française en général. Comme elle est absente de la plupart des campagnes électorales. Et pourtant, elle est souvent la clef du futur intellectuel —et économique- d’un pays. En ce sens, la France n’est pas mieux lotie que bien d’autres pays, où les fonds consacrés à la recherche ont été réduits au cours des années 90, aussi bien par des gouvernements de gauche que de droite.


Nature en profite pour donner quelques coups de griffes au monde français de la recherche... La suite en lien.



Par pascal Lapointe :
Sciencepresse

Références
Lien à insérer

Si vous citez cet article sur un site, un blog, un forum ou autre contenu web, utilisez l'adresse ci-dessous. Après validation par un administrateur, votre site apparaîtra ci-dessous comme référence.

Ils commentent à distance !

Pour l'heure, personne ne commente sur un autre site web.

Discussions
Pas d'avis pour “La science contre Jean-Marie Le Pen”
Participer à la discussion

Impossible de commenter cet article