Plus de 3 millions de voix d’avance, un Congrès à majorité républicaine, un clan néoconservateur triomphant et... le sentiment d’avoir gagné contre le monde entier.Désormais George Bush a les mains libres pour lancer sa seconde révolution conservatrice.Et si nous n’avions encore rien vu ?
Que lui reste-t-il à prouver? Il l’a dit lui-même, cette campagne était sa dernière. En 1994, il avait surpris ses parents: quand il avait annoncé à sa mère qu’il avait décidé de se présenter comme gouverneur du Texas, Barbara lui avait répondu sèchement: «Tu ne peux pas gagner.» ...
Source & suite vers le dossier intégral, par Philippe Boulet-Gercourt pour :
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