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Anthony Zimmer, de Jérôme Salle

Ackerman, chef de la police, tente de convaincre ses supérieurs de lui donner tous pouvoirs pour coincer l’escroc-trafiquant Anthony Zimmer dont nul ne connaît plus ni le visage, ni la voix depuis qu’il a subi une intervention esthétique. Mais Ackerman connaît le point faible de Zimmer qui est la belle Chiara.

Dans le TGV qui le mène vers l’arrière-pays du Midi, François Taillandier, grand amateur de polars, voit soudain s’installer devant lui une créature de rêve comme celles que l’on voit dans les magazines et cette superbe sirène non seulement s’intéresse à lui, mais de plus l’emmène au Negresco de Cannes. Ce n’est plus un rêve, c’est un conte des milles et unes nuits qui se réalise.



La suite de cette critique de Niki Van Espen

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