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TOTAL, Kouchner et les esclaves

Lors de son enquête en Birmanie à la demande de Total, Kouchner n'avait pas vu d'esclaves. Aujourd'hui, le pétrolier indemnise donc des ectoplasmes qui n'ont jamais existé. Retour sur cette affaire et portrait d'un futur candidat aux élections présidentielles.

Afin d’éviter un procès, la société Total accepte de verser 10 000 euros à chacun des sept Birmans qui l'accusent d’avoir été contraints de travailler gratuitement pour elle sous la menace de l'armée birmane en 1995. Ces exactions ont eu lieu en 1992-1998 sur le chantier du gazoduc Yadana, construit par Total et une compagnie américaine pour relier un gisement maritime birman à la Thaïlande. Total accepte aussi de consacrer 5,2 millions d'euros à l'indemnisation d'autres personnes qui pourraient justifier d'un emploi comme travailleur forcé et à des « actions humanitaires collectives pour l'habitat, la santé et l'éducation ».



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