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Noël J-20, je dois penser à quoi?

Quand l'hiver arrive, on arrive à s'organiser plus ou moins intuitivement. Ressortir vestes, écharpes et moufles, prévoir qu'il fera noir quand on rentrera du boulot et se mettre en mode raclette-chocolat chaud-grogs, on sait faire.

Bien manger pour bien penser

Mangez de tout, mangez gras, sucré, ne vous interdisez rien (ou presque) : votre matière grise l'exige pour se porter au mieux. Pour " Le Monde 2 ", le chercheur Jean-Marie Bourre, auteur de La Nouvelle Diététique du cerveau [Odile Jacob, 2006], fait le lien entre nourriture et intellect. Et rappelle enfin que manger doit rester un plaisir, pas une lutte sans merci contre les calories.

Quelles liaisons établir entre l'alimentation et les fonctions cérébrales? La mauvaise nourriture, la sous-alimentation peuvent-elles entraîner des malformations, ou une mise à mal de son fonctionnement ?
Le cerveau représente à lui seul 2 % du poids du corps, mais il consomme 20 % de l'oxygène respiré et 20 % de l'énergie alimentaire consommée. Soit dix fois plus que nos autres organes. Le cerveau, à titre de comparaison, consomme presque autant d'énergie - les deux tiers - que notre cœur, un muscle très puissant qui débite 8600 litres de sang par jour. L'oxygène consommé à tout moment par le cerveau humain est équivalent à celui produit par un chêne, grâce à ses 100 000 feuilles.

Penser à la douleur peut faire mal !

La peur que certains ressentent avant une injection ou une visite chez le dentiste active les mêmes régions du cerveau que la douleur elle-même. Cette constation a été effectuée par des chercheurs de la Emory University School of Medicine d'Atlanta...