Mais tant qu'il y aura de l'eau,
les mots couleront à flots.
Le fonds de commerce de l’Eglise n’est pas près de prendre l’eau.
Et la seule eau qui y coule pour l’instant, c’est celle des fonts baptismaux.
« Fontaines ou sculptures, chacune fera ce qu’elle voudra dans un lieu, elles ne m’appartiennent plus, elles vivent leur vie propre avec leur soleil, leur lune, leur pluie. Quand une fontaine est dans la nature, elle atteint son point final, son apogée ; elle respire, elle s’oxygène » (Pol Bury)