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Le Temps qui reste, de François Ozon

Second volet d’une trilogie sur le deuil entamée quelques années plus tôt avec "Sous le sable". Ozon va encore plus loin. Une histoire tragique, racontée cependant avec cette poésie de l'image qui lui est propre. On en sort à la fois bouleversé et émerveillé.

Le réalisateur place son héro face à sa propre mort, une mort inéluctable, un cancer généralisé pour lequel il refuse tout traitement. Film simple mais sincère, souvent très juste et plein d’émotion avec d'autres sujets qui tiennent particulièrement à coeur de ce réalisateur, notamment la paternité des homosexuels. Le besoin de l'être humain d'assurer un passage, une transmision animale de son patrimoine génétique.



Sortie sur les écrans le 30 novembre 2005



La suite de cette critique de Tekiro

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