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Alain Madelin (DL) déplore le parfum d'Ancien Régime qui flotte sur la France

M. Chirac n'est défendu que par ses proches.



A LA VEILLE du traditionnel entretien présidentiel du 14-Juillet, la mise en cause de Jacques Chirac et de plusieurs de ses proches dans l'affaire des billets d'avion payés en liquide entre 1992 et 1995 continue à susciter des réactions contrastées à droite, selon qu'elles viennent des fidèles ou des concurrents potentiels du chef de l'Etat.



Ainsi, après François Bayrou (Le Monde du 12 juillet), c'est Alain Madelin qui assure, dans un entretien à Libération, vendredi 13 juillet, que "si le président n'est pas un justiciable comme les autres, il n'est pas non plus au-dessus des lois". A ses yeux, une réforme du statut pénal du chef de l'Etat "s'impose", à la fois pour protéger la fonction présidentielle et pour permettre à son titulaire de pouvoir s'expliquer devant la justice "autrement que dans le cadre de la procédure exceptionnelle et trop lourde de la Haute Cour de justice".



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