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L’empreinte au secours de la puce

Quand la puce et le code secret ne suffisent plus à assurer la sécurité des cartes de crédit, les chercheurs mettent au point de nouvelles barrières...


L’équipe de Mike Fairhurst et Farzin Deravi, de l’université du Kent, à Canterbury (GB), peaufine ainsi sa « Finger card », équipée d’un petit capteur d’empreintes digitales.


Plus de 200 volontaires ont participé à des tests, afin de vérifier la validité du modèle mathématique mis au point par les chercheurs, mais aussi pour tester la robustesse de la carte et son ergonomie. L’utilisateur doit apposer son empreinte avant de pouvoir composer son code.


Les diverses fraudes à la carte bleue, comme les « yes cards » (voir Sciences et Avenir n°659, janvier 2002) , ont montré la nécessité de trouver de nouveau moyen de sécurisation des cartes à puces.



Source & infos complémentaires :
Sciences & Avenir

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