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La douleur de l’exclusion

Se sentir exclu d’un groupe provoque une douleur comparable à celle provoquée par une blessure physique. En tous cas pour le cerveau. Ces deux événements activent les mêmes régions cérébrales, d’après l’étude menée par une équipe de l’université de Californie publiée aujourd’hui dans la revue Science.

Naomi Eisenberger et ses collègues ont utilisé l’IRM fonctionnelle (imagerie par résonance magnétique) pour suivre l’activité cérébrale de leurs treize volontaires. Une fois allongé dans la machine, l’étudiant devait jouer à un jeu électronique supposé être en réseau avec d’autres. Le principe était simple : les joueurs se passent une balle. Au cours d’un premier test, le volontaire était informé qu’un problème technique l’empêchait momentanément de recevoir la balle. Au cours d’un second, il se trouvait sciemment exclu de la partie par les autres...



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