Les grands dépressifs présenteraient davantage de cellules nerveuses au niveau du thalamus, siège des émotions de notre cerveau, que le commun des mortels !
C’est en tous cas ce que révèlent des chercheurs de l’Université de Dallas, au Texas, ce mois-ci dans la revue The American Journal of Psychiatry. Ils ont ainsi comparé les cerveaux, grâce à un examen postmortem, de sujets n’ayant jamais présenté de problèmes psychiatriques à ceux de 3 groupes d’individus : certains atteints de dépression grave, d’autres de troubles bipolaires, et les derniers de schizophrénie.
Source :
Caroline Lepage - Futura-Sciences