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War of the World, de Steven Spielberg

Il est des films dont on se doute qu’il vaut mieux ne pas aller les voir. Pour moi, « War of the Worlds » fut de ceux là.

Du message philosophique de Wells il reste l’histoire d’un type déplaisant, n’ayant pas du tout envie de s’occuper de ses enfants, qui ne sont pas dupes d’ailleurs et puis, soudain, face aux envahisseurs se découvre une fibre paternelle enfouie au fond de son cœur. Fin de scénario, arrêtez les violons. Ici entre en scène la grosse machinerie des effets spéciaux.



Suite de la critique de bastet



N.D.L.R. : le bûcher, le bûcher, le bûcher ... lol

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