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Immaculate Deception (The), de Iain Pear

Dans cette septième (et dernière ?) enquête du trio Argyll-di Stefano-Bottando l’humour des personnages est teinté d’une bonne dose de cynisme, l’enquête évoluant à la fois dans le monde de l’art mais surtout dans celui de la politique et des politiciens peu scrupuleux, plus préoccupés par leur ego surdimensionné plutôt que des intérêts de leurs électeurs.

Le général Bottando occupe désormais un poste important auprès de la Commission Européenne, un poste extrêmement bien payé pour un travail des plus calmes et il s’ennuie, le général, bon sang qu’est ce qu’il s’ennuie.





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