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Family Stone (the), de Thomas Bezucha - Esprit de famille

On parle toujours de familles dysfonctionnelles, mais parfois il y en a de très chouettes, dont on aimerait bien faire partie, comme cette « Family Stone » tellement hors conventions. L’ennui c’est que certaines familles sont si monolithiques qu’elles n’acceptent que très mal les nouveaux ou nouvelles venu(e)s.

C’est le problème que rencontre Meredith, fiancée à l’un des fils de la famille, invitée pour Noël et qui va voir la famille se liguer immédiatement contre elle. Il est vrai qu’elle est aux antipodes des Stones : jeune femme d’affaires, hyper stressée, l’oreille scotchée au portable, organisée, tirée à quatre épingles, pas un cheveu ne dépassant de son chignon, étourdissant tout le monde par un débit de paroles très newyorkais. Alors que ces doux farfelus vivent à leur gré, se permettent de trainailler en pyjama et training pendant toute la journée avant de se faire tout beaux pour le dîner. Ce qu’elle ne sait pas, puisqu’elle ne fait pas partie de la famille, c’est que tous sont fragilisé par le chagrin que provoque la maladie de la maman.



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