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Rebecca, de Daphné du Maurier

Une jeune fille, naïve et romantique, travaille en qualité de dame de compagnie pour Mrs. Van Hopper, une Américaine des plus déplaisantes, voire même méchante. Cette femme a pour habitude de s’inscruster auprès de gens célèbres et c’est ainsi qu’elle tente de mettre le grapin sur Maxim « Max » de Winter, un veuf dont l’épouse est morte dans de mystérieuses circonstances.

L’homme est sombre, taciturne, d’un naturel peu avenant, mais la douce jeune fille met cela sur le compte de son récent veuvage et de l’agacement que provoque sa patronne. Lorsque celle-ci tombe malade, la jeune fille peut prendre un peu de temps pour elle-même ; cela va la mettre en contact direct avec le beau ténébreux. Il lui parle très peu de lui-même, sauf de son très beau domaine « Manderley ». Tout à coup, sans coup férir, voilà qu’il lui annonce qu’il est amoureux d’elle et propose le mariage à cette romantique et timide créature qui devient la « seconde Mrs. De Winter », un titre qui va bien vite devenir une malédiction.



Suite de la critique de Niki

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