Son nom, comme celui de Don Juan, est entré dans la légende comme l’un des plus grands séducteurs de l’histoire. « Séduire et puis s’enfuir », telle aurait pu être leur devise.
Giacomo Casanova était un bel esprit, coqueluche des salons, cauchemar des maris et des pères de famille, volant d’un seul sourire et d’un compliment joliment tourné le cœur des femmes qu’il quitte au petit matin, le visage masqué. Mais tout séducteur finit un jour par rencontrer l’échec et celui-ci prend pour Casanova le visage de la ravissante Francesca qui non seulement est jolie mais aussi très intelligente, s’intéressant à la philosophie et les sciences, écrivant des pamphlets pour la libération des femmes sous un pseudonyme. Commence alors un jeu typique de « chat et souris », mais qui est le chat et qui est la souris ?
La suite de cette critique de Niki Van Espen