La restriction calorique semble vraiment marcher pour vivre plus longtemps en moyenne. En tout cas, une étude sur les singes encore en cours semble en donner la preuve.
La restriction calorique semble vraiment marcher pour vivre plus longtemps en moyenne. En tout cas, une étude sur les singes encore en cours semble en donner la preuve.
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Il est encore trop tôt pour tirer des résultats de cette étude sur les singes car trop peu d'entre eux sont morts encore (20 %). On peut d'ores et déjà constaté certains points évidents. les singes qui suivent le régime basse calorie sont en meilleur santé.
Il faut savoir en effet que dans le groupe témoin des singes qui suivent le régime normal, déjà deux fois plus de singes sont déjà morts de maladies relatives à l'âge. Ce qui est remarquable est qu'aucun singe suivant un régime n'est mort de diabète ; une maladie mortelle habituellement commune chez ces singes. Il faut savoir en effet que dans le groupe témoin des singes qui suivent le régime normal, déjà deux fois plus de singes sont déjà morts de maladies relatives à l'âge. Ce qui est remarquable est qu'aucun singe suivant un régime n'est mort de diabète ; une maladie mortelle habituellement commune chez ces singes.
Ces premiers résultats amènent de l'eau au moulin de ceux qui choisissent de suivre cette voie mais il y a mieux. Les preuves s'accumulent que la restriction calorique agit sur les processus génétiques et moléculaires qui gouvernent l'âge et les maladies liées à l'age.
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