Selon wikipédia : Un scoop est un terme professionnel du journalisme, qui vient du nom de l'agence de presse SCOOP (Société coopérative) créée par Roger Féral et sa femme Janine, désignant une information importante et exclusive vis à vis de la concurrence et qui a été repris tel quel en anglais faisant à ce titre partie des vrais amis en anglais.
Mais si un journal veut publier un scoop, un scoop qui concerne la journée du 6 mai, plus exactement et que le directeur de la Rédaction du journal en question , reçoit un coup de fil du Big Boss du groupe qui est propriétaire du canard, lui disant: vous n’allez pas publier cette nouvelle ..
et quand un journaliste à son tour va aller dire à un collègue d’un autre journal, le scoop prend plus la dimension d’une bouillabaisse journalistique et politique que celle d’un article tout simple.
Peut être, mais juste par précaution, avant de continuer à lire, préparerez un verre d’eau et une aspirine au cas où.
Samedi matin, Florence Muracciole, chef du service politique, propose deux articles concernant Cécilia Sarkozy: l'un devait décrire les tensions au sein du couple, l'autre l'affaire du "non-vote", découvert par un journaliste. Par respect de la vie privée, le directeur de la rédaction, Jacques Espérandieu, renonce à publier le premier, mais donne son feu vert au second: il rapporte un fait vérifié, et suffisamment symbolique pour valoir publication. Quelques jours plus tôt, Espérandieu a d'ailleurs donné l'impression de vouloir lutter contre les pressions, quoi qu'il arrive: "On va résister",
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