Et oui, ce week-end était particulièrement intéressant pour les amateurs de sports mécaniques. D'une part, il y avait les célèbres 24 heures du Mans. D'autre part, le Grand Prix des Etats-Unis sur le circuit non moins célèbre d'Indianapolis.
Au final, deux leçons. En endurance, rien ne sert de courir ... et vous connaissez la suite ! Du coup, Audi gagne encore un fois. Mais la concurrence, en l'occurence les Peugeot 908, n'est pas loin, bien au contraire. Et la pression exercée par le lion a fait des dégâts : 2 Audi sur le côté alors que le bilan est meilleur pour Peugeot avec une sur deux à l'arrivée, ce qui n'était pas gagné d'avance ...
Mais on a vu aussi une petite équipe, en l'occurence celle d'Henri Pescarolo, compléter le podium. C'était loin d'être joué d'avance puisque l'on donnait les diesels bien en avance et qu'il y en avait quand même 5 au départ !
Mais voilà, une course d'endurance se gagne ausis sur la fiabilité et comme dans la vie de tous les jours, les mazouts ont montré que dans ce domaine, ils ne pouvaient pas donner de leçon aux véhicules essence.
Reste qu'il serait temps qu'il y ait un réglement un peu plus écologique avec notamment des biocarburants, des hybrides, et surtout des limites par exemple dans la consommation & la pollution.
Lewis 1er, nouveau roi de la F1 ?
Idem en Formule1, le jeune prodige anglais a réussi à renouveler son exploit de la semaine dernière. Alignant les podiums comme personne, il ne serait pas étonnant que ce soit dorénavant les victoires qui l'intéressent ...
Derrière pourtant, ils sont nombreux à vouloir résister. Son (double) champion du monde de coéquipier par exemple, l'espagnol Fernando Alonso, qui se sent bien seul dans le monde (cruel cela va de soit) particulier qu'est cette équipe anglaise. Mais aussi les pilotes Ferrari qui se sont livrés une belle bataille pour figurer sur la troisième marche.
Les autres équipes sont loin derrière mais toujours là. Et le combat que se livrent Renault & BMW ne manque pas d'intérêt, bien au contraire. Les nouveaux pilotes, et en particulier le (très) jeune Vettel, ont fait le spetacle, en forçant les vieux lions à rugir mais pas forcément de plaisir !
Au final, les mélanges chaud/froid font un bien beau spectacle.