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Essai Tesla Roadster : voiture de sport à brancher très branchée

La star de la croisette

Entre le Carlton et le Martinez, il est difficile de faire dix mètres sans croiser une Rolls-Royce Phantom, une McLaren SLR ou une F430 Spyder. Plus encore en plein Festival de Cannes, où entre deux tentatives d’entrapercevoir le sourire en coin d’Harrison Ford ou les lèvres pulpeuses d’Angelina Jolie, les très nombreux badauds tournent de temps en temps la tête vers les voitures de sport et le bruit de leurs moteurs qui annonce leur arrivée à chaque passage.

Pour la Tesla Roadster, c’est tout l’inverse : Elle ne fait pas de bruit et ses lignes de Lotus Elise adoucies restent discrètes. Et pourtant, c’est celle vers laquelle les regards se fixeront le plus longtemps. D’abord pour essayer de trouver de quelle voiture il s‘agit ( « c’est une Ferrari? » ; « Tiens mais c’est pas la voiture que j’ai vu dans James Bond? » ), puis pour réaliser que cette sportive est électrique ( « Sérieux? Ce n’est pas une blague? »

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