Gares, tours et églises parisiennes se sont transformées hier soir lors de la septième édition de la Nuit Blanche, pour devenir scènes d’art contemporain. Plusieurs villes de banlieue et de province ont également joué le jeu.
IL Y AVAIT FOULE dans les gares hier soir et ce n’était pourtant pas un jour de grands départs. Pour la septième Nuit blanche, les Parisiens sont restés à quai, mais ont eu droit au spectacle. Les cinq gares de la capitale, transformées en autant de scènes pour quelques heures, ont proposé des couleurs, des lumières et du rêve.
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Plus d’un million de personnes selon la mairie étaient dans les rues de Paris pour la 7ème nuit blanche. Une édition qui a fait la part belle au 7ème art. Comme à la gare de Lyon où le jeune réalisateur indien Shaad Ali a offert au public une plongée dans les coulisses du cinéma de Bollywood avec le tournage d’un film chanté et dansé. Une grue pour éclairer le parvis, deux caméras, une trentaine de danseuses et deux jeunes acteurs qui sont des stars à Bombay...
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