Selon une étude conjointe de chercheurs allemands et danois, les rejets gastriques des mollusques aquatiques pourraient avoir un effet «nocif important» sur l’environnement.
Ils ne mesurent que quelques millimètres, vivent presque invisibles au fond de l’eau, mais la contribution au réchauffement climatique des larves d’insectes aquatiques et des mollusques est injustement sous-estimée, ont averti dans une étude des chercheurs allemands et danois.
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