L’huile d’argan, appelée « l’or du Maroc », porte bien son nom. Utilisée dans les cosmétiques et pour l’industrie alimentaire, elle permet de valoriser le travail des femmes marocaines grâce à la création de coopératives. Les structures n’emploient que des femmes et fonctionenet grâce aux subventions de l’Union européenne. Cela renforce la position des femmes tant sur le plan économique, social que familial.
Laure Prieur, 27 ans, a travaillé bénévolement, de novembre 2008 à janvier 2009, dans la fabrique d’Assafar. La jeune femme a rejoint les 45 Marocaines – la plupart analphabètes et ne parlant pas français – pour mettre la main à la pâte. Elle en ramène des clichés qui nous plongent au cœur d’une production artisanale et ancestrale...
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