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adieux

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Vibrants adieux : à sa mort, Reagan laisse des traces foireuses.

Né pauvre, surtout d'esprit, en 1911, le petit Ronald finit par comprendre qu'il lui faudrait viser un de ces jobs où on peut exceller avec trois neurones. Il chercha longtemps. Puis un jour, à 15 ans, devant sa maîtresse de troisième année qui lui demandait s'il était vraiment débile ou s'il faisait semblant, il déclara « Je serai président des États-Unis ». La route vers ce glorieux sommet serait longue mais Ronnie s'y engagea avec cet air buté qu'il devait à son infinie bêtise à front de taureau, qui allait justement lui être si utile sa vie durant.