L’acteur - que l’on peut voir actuellement sur les écrans avec la charmante comédie dramatique « Shall we dance ? » - poursuit également son engagement pour le Tibet.
Il est arrivé à Bruxelles afin de présenter son exposition « PILGRIMS », un recueil de superbes photographies noir et blanc qui dévoilent un autre aspect de ce militant sincère, défenseur des droits de l’homme et ami du DalaÏ lama.
Au cours de la conférence de presse, Richard Gere a expliqué que son action n’était pas dirigée personnellement contre la Chine mais pour le Tibet, pour que soit libéré un peuple oppressé et pour que soit sauvée une culture qui se meurt lentement mais sûrement, à commencer par la langue interdite par l’envahisseur chinois. La nouvelle génération d’écoliers tibétains n’apprend même plus sa langue maternelle à l’école.
L’exposition « PILGRIMS » comporte 64 photographies représentant la communauté tibétaine en exil, ainsi que le peuple tibétain habitant dans les régions de l’Himalaya.
Comme l’explique l’acteur-photographe-militant engagé, paraphrasant Magritte « Ceux-ci ne sont pas des Tibétains, ce sont des photos de Tibétains, mieux encore ce sont des expressions de mon sentiment sur les Tibétains. »
L’exposition des photos de Richard Gere se tient à la YOUNG GALLERY – 1485 chaussée de Waterloo à Uccle (Bruxelles). Du 7 juin au 15 septembre 2005.
Un aperçu de l’œuvre est visible sur le site de la galerie d’art www.younggalleryphoto.com/photography/gere/gere.html
D’autres manifestations de soutien en faveur du Tibet se produiront à Bruxelles dans le courant des mois de juin et juillet.
Pour plus d’information, voir le site www.tibet-info.org/Evenements/agenda.html