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Bella Mafia, de Lynda LaPlante

Une histoire très semblable au « Godfather » de Mario Puzo, sauf qu’ici ce sont les femmes qui prennent les choses en main.

Les familles Carolla et Luciano sont en lutte pour le pouvoir depuis longtemps ; régulièrement des morts tombent de part et d’autre, mais cette fois il s’agit du fils préféré de Don Roberto, Michael Luciano, 20 ans et héritier de l’empire. Il ne fait aucun doute que c’est Paul Carolla qui est le meurtrier et Don Roberto a accepté de témoigner contre l’assassin de son fils.




Ce qu’il ignore, c’est que Michael était amoureux d’une adorable jeune fille, pauvre bien sûr. Les amoureux se cachaient jusqu’à leur mariage secret ; hélas Michael se fait tuer avant et Sophia met au monde leur fils bâtard, que les nonnes du couvent où elle est employée lui retirent immédiatement à la naissance, sous prétexte d’adoption. Elle attache autour du cou de l’enfant une petite chaîne, espérant qu’un jour elle pourra le retrouver. Elle le retrouvera, mais dans des circonstances épouvantables.




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