Selon une étude menée entre 2001 et 2003 par des chercheurs brésiliens sur les naissances à São Paulo, "les émissions toxiques favorisent le sexe faible", rapporte l'hebdomadaire britannique Nature.
Les chercheurs ont divisé la ville, qui compte 17 millions d'habitants, en trois secteurs, en fonction du degré de pollution fourni par les stations d'observation de l'air. Ils ont ensuite comparé les registres de naissances des trois secteurs sur la période donnée. "L'équipe a ainsi trouvé que, si le nombre de filles était de 48,3 % dans le secteur le moins pollué, il passait à 49,3 % dans les quartiers les plus atteints de la ville", avance l'hebdomadaire.
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