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Matador (the), de Richard Shepard



Vous croyez peut être que c’est drôle d’être tueur à gages ? demandez donc à Julian Noble ce qu’il en pense : au lieu d’un foyer accueillant, des hôtels cinq étoiles ; au lieu d’une épouse tendre et attentionnée, des relations avec des prostituées ;

pas un seul ami avec qui fêter son anniversaire, vous êtes seul devant la télé qui diffuse un film musical débile, en vous saoûlant bêtement ! Tout cet alcool commence d’ailleurs à lui obscurcir l’esprit, sans parler du ras le bol intégral de ce métier et de la paranoïa qui l’accompagne. Bref le vrai « burn out » !



La suite de cette critique de Niki Van Espen

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