Vous croyez peut être que c’est drôle d’être tueur à gages ? demandez donc à Julian Noble ce qu’il en pense : au lieu d’un foyer accueillant, des hôtels cinq étoiles ; au lieu d’une épouse tendre et attentionnée, des relations avec des prostituées ;
pas un seul ami avec qui fêter son anniversaire, vous êtes seul devant la télé qui diffuse un film musical débile, en vous saoûlant bêtement ! Tout cet alcool commence d’ailleurs à lui obscurcir l’esprit, sans parler du ras le bol intégral de ce métier et de la paranoïa qui l’accompagne. Bref le vrai « burn out » !
La suite de cette critique de Niki Van Espen