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Devil's Apprentice (The), d'Edward Marston

Ceux qui lisent “Les aventures de Tintin” vous le diront : on les lit surtout pour les frasques du Capitaine Haddock, pour les inventions de ce doux hurluberlu de Tryphon Tournesol et pour les déguisements des Dupond et Dupont. Je dirais même plus et je le confesse sans fausse honte : désormais je lis « les aventures des Westfield’s Men » pour les joutes verbales entre les deux principaux directeurs de la troupe, ainsi que des querelles entre Margery et Lawrence Firethorn, sans oublier les états d’âme amoureux de l’écrivain de la troupe, Edwin Hoode ou les lamentations du tavernier Marwood de l’auberge The Queen’s Head.

Ce qui n’enlève évidemment rien au charme ni à la compétence du héros principal de la troupe élisabéthaine, le très vaillant Nicholas Bracewell, toujours très résolu à sortir la troupe de toutes les ornières où elle se trouve, que ce soient celles des routes ou celles dues aux pièges qu’on lui tend régulièrement.

Cette fois encore, les ornières sont multiples. A commencer par le chômage technique occasionné par un hiver particulièrement rigoureux qui éloigne les spectateurs de la cour d’auberge qui est leur scène théâtrale privilégiée ce qui permet une fois de plus au propriétaire du lieu de se plaindre de la banqueroute qui le guette !




Suite de la critique de Niki

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