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Prime, de Ben Younger

Agréable surprise que cette comédie romantique fort drôle au début, qui bascule vers quelque chose de plus sérieux et se termine avec un peu de mélancolie et beaucoup de tendresse, loin des poncifs sirupeux d’happy ends hollywoodiens.

Raphaelle « Rafi » Gardet vient de signer les papiers du divorce et assume très mal la situation ; sa psy l’aide à passer ce cap difficile. David Bloomberg assume mal de ne pouvoir devenir artiste peintre alors qu’il est remarquablement doué car sa famille juive aimerait non seulement qu’il ait un « vrai » métier et surtout que comme ses copains il se marie.



Suite de la critique de Niki

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