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Jospin veut parler

Après s'être retiré de la vie publique, l'ancien premier ministre revient sur le devant de la scène. Bien sûr, il jure qu'il ne se présentera plus. Cependant, il pense avoir le droit de s'exprimer comme n'importe quel citoyen.

La vie rêvée de Lionel Jospin

L'ancien premier ministre court les vernissages, les premières, les fêtes amicales, écrit, plaisante. Mais refuse de parler de la défaite du 21 avril. Prépare-t-il un éventuel retour ? Parmi ses proches, nul n'y croit vraiment.

Jospin éclate Loana !

Voila un titre bien intriguant... Lionel Jospin a-t-il rejoint Loana dans une piscine ? Va-t-il participer au prochain LoftStory ? Vite, voici la réponse !...

Le virus Jospin.exe envahit les PC de campagne

Où comment les chiraquiens se mobilisent sur Internet. Un nouveau virus se propagerait sur les PC de campagne: Jospin.exe. Mais rassurez-vous, c'est un faux.


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Chirac-Jospin : vers un combat sans merci

Les attaques en règle du président contre la politique du gouvernement mettent fin à l'illusion d'une cohabitation policée. Elles promettent une campagne présidentielle agressive. Sur les affaires, François Hollande réclame la "tolérance zéro" envers le chef de l'Etat.



LA GUERRE. Frontale, brutale, totale. Samedi 14 juillet, Jacques Chirac a ouvert les hostilités contre Lionel Jospin. Acculé par les juges, menacé par les affaires, le président de la République a choisi la diversion, en déclarant ouverte la campagne présidentielle. Tous les registres ont été utilisés : la mise en pièces méthodique de la politique gouvernementale dans les domaines de la sécurité et de la politique économique et sociale; l'accusation plus générale, et martelée tout au long de son intervention télévisée, de l'affaiblissement de l'Etat, de l'absence de volonté politique, dont Lionel Jospin serait, à ses yeux, responsable et coupable; l'allusion, nettement plus voilée, à la culture trotskiste du premier ministre.



Lorsqu'il était officiellement entré en campagne, le 22 mars 1988, en répondant à une question sur sa candidature dans le journal télévisé de France 2, François Mitterrand avait stupéfié tout le monde en accusant les "bandes", les "clans" et les "factions" de l'Etat RPR, dont le premier ministre de l'époque, Jacques Chirac, était le chef. L'actuel président de la République a manifestement retenu la leçon de son prédécesseur et trouvé son angle d'attaque. Près de dix fois, il a répété que "la volonté manque et l'autorité de l'Etat fait défaut". Avec la même insistance, il a évoqué la "confusion" qui règne, selon lui, partout dans l'Etat, et notamment au sein de l'institution judiciaire.



Suite de l'article du Monde