Tout le monde se félicite de la mise en accusation des responsables du coup d’Etat de 1973 au Chili ou des travaux de l’Instance équité et réconciliation au Maroc qui accumule les témoignages sur les « années de plomb » (lire « Le linge sale de la dictature chilienne » et « Une réconciliation si fragile au Maroc »). Pourtant, malgré ces révélations tardives, on continue de torturer à travers le monde.
Certains de ses sous-traitants envisagent leur transfert à Abou Dhabi, non soumis à des normes environnementales.