Le Vatican a lancé jeudi une attaque sans précédent contre l'industrie pharmaceutique mondiale, accusée de "génocide" à l'encontre des malades de sida dans les pays pauvres, et a demandé une pression internationale afin d'obtenir une baisse des prix des médicaments.
Pour une fois, le chef de l'Autorité palestinienne, Yasser Arafat, et le ministre israélien des affaires étrangères, Shimon Pérès, ne sont pas loin de partager le même jugement sur l'armée israélienne. Le zèle déployé par celle-ci depuis la proclamation du cessez-le-feu, le 18 septembre, ne le menace-t-il pas en toute connaissance de cause ?