La silhouette d'une cheminée d'usine se profile devant un ciel enneigé. Emportée par la musique, la caméra y plonge et nous emmène visiter une chaîne de montage : tapis roulants, bras articulés, tout un monde mécanique s'attelle à la fabrication de la barre de chocolat Wonka, celle qui changera le destin d'un jeune garçon dénommé Charlie.
Le nouveau Spielberg. C’est déjà un bon argument pour aller au cinéma. Quand en plus il abandonne la guimauve et plonge Tom Cruise dans un monde qui s’écroule, c’est encore un bon point. Et puis, a-t-il déjà fait un mauvais film ?
Il est des films dont on se doute qu’il vaut mieux ne pas aller les voir. Pour moi, « War of the Worlds » fut de ceux là.
Intel s'associe à Revelations Entertainment pour former une entreprise qui distribuera de nouveaux films directement aux consommateurs, par le biais d'Internet...
Charlie (diminutif de Charlotte) rêve au prince charmant (comme toutes les autres filles de la terre) ; styliste ne perçant pas, elle pratique toutes sortes de petits boulots rigolos, allant de réceptionniste dans un cabinet médical à promeneuse de chiens, en passant par assistante de sa copine traiteur .
Le revoilà enfin, ce Xavier qui m’avait tant agacée dans « L’Auberge Espagnole », l’un de ces petits bijoux de films que l’on n’oublie pas de sitôt tant ils sont sympas.
Tout à la fin de la guerre de Secession, un cuirassé disparaît mystérieusement, ayant à bord une cargaison tout aussi mystérieuse.
Fallait bien qu’un jour ça m’arrive : voilà LE film auquel je n’ai strictement RIEN compris.
R.W. Fassbinder qu aurait eu 60 ans le 31 mai dernier, a laissé une filmographie de quelques 43 films, qui ne doit pas faire oublier l'oeuvre théâtrale.
Une jeune interprète en langues africaines, Silvia Broome, revenue prendre ses affaires dans la cabine, surprend une conversation lui faisant comprendre qu’un complot se trame contre un vieux dictateur africain qui doit venir se justifier et demander de l’aide à l’ONU afin de soi-disant rétablir le calme dans son pays.