Laurent est vérérinaire et a eu un dégât des eaux ; Claire est agent d’assurances, déléguée aux sinistres. Ils se rencontrent lors de la déclaration et de l’expertise des travaux.
Paris 1830. Charles X vient d’être démis et est en fuite. Le jeune Valentin est un cynique, grand amateur de bordel, criblé de dettes, détestant le mariage et ses hypocrisies.
Mère de quatre grandes filles, épouse comblée – du moins le croyait-elle, Terry se retrouve seule du jour au lendemain, convaincue que son époux s’est taillé en Suède avec sa secrétaire. Submergée d’une rage sans précédent, elle est incapable de gérer sa colère, se réfugie dans l’apitoiement de soi et dans l’alcool au désarroi de ses filles peu habituées à ce que leur mère perde ainsi pied.
Caroline, jeune et jolie infirmière, arrive au domaine des Devereaux afin de s’occuper du mari, tetraplégique à la suite d’un avc.
Une ovation debout durant 12 minutes a salué le documentaire de la jeune actrice/réalisatrice italienne Sabina Guzzanti à la 62ème édition du Festival du Cinéma à Venise.
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L’étrange festival s’impose comme la manifestation indispensable à l’heure où le calibrage mou est à l’honneur dans la majorité des productions filmiques actuelles. Sus au conformisme (et aux conformistes) : cette treizième édition est une nouvelle fois placée sous le signe de l’éclectisme puisque tout le monde devrait normalement y trouver son bonheur. Elle se déroulera du 31 août au 13 septembre au forum des Halles à Paris. On vient de recevoir le programme définitif. Il est explosif.
Dans un futur pas très lointain, dans le monde tout blanc, tout aseptisé où vit Lincoln Six-Echo il vaut mieux ne pas poser de questions, ne pas trop se rapprocher des jolies filles qui partagent les lieux communs ou discuter avec des copains. Ceux qui vivent là, dans la partie supérieure de cette fourmillière, ont tout pour être heureux, mais leur bonheur suprême serait de gagner à la loterie et de pouvoir enfin respirer l’air pur du seul lieu préservé : l’île.
Article de Bastet.
Perdre est une question de méthode : tout un programme pour un film au titre énigmatique. Il vient d’une citation de l’auteur Luis Sepúlveda qui a affirmé : « J’ai perdu. J’ai toujours perdu. Ca ne m’irrite pas, ça ne m’inquiète pas.
Fraîchement débarqué de sa Corée natale, Kim Shunpei s’installe à Osaka, des rêves plein la tête. Expatrié au Japon à la recherche de la gloire, de la fortune et surtout d’un travail, Kim Shunpei est un homme qui a toujours agit selon son bon vouloir.