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Pride and Prejudice, de Joe Wright

Le cinema apprécie les romans de Jane Austen et si celle-ci était notre contemporaine elle aurait apprécier le cinéma car Jane Austen aimait la nouveauté. Elle aurait été une scénariste des plus talentueuses non seulement par l’acuité avec laquelle elle observait la nature humaine, mais aussi pour son humour, son esprit caustique, sa drôlerie, sa tendresse.

« Pride & Prejudice », comme chacun le sait, conte l’histoire de la famille Bennet et de leur cinq (!) filles, toutes éduquées dans le seul but d’avoir un mari, parce qu’au 18ème siècle, les épouses et les filles n’héritent pas, donc si le père meurt, sa maison et ses biens sont légués à son parent le plus proche. Dans le cas des Bennet, il s’agit du prétentieux cousin, Mr. Collins. Mrs. Bennet et ses filles seraient donc à la merci de sa charité. Etre femme et sans fortune était certainement ce qu’il y avait de pire dans les siècles passés.





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