(Refrain)
Et tes lèvres ont le goût du beaujolais nouveau.
Et tes lèvres ont le goût de l'amour qui coule à flots.
Et tes lèvres ont le goût du beaujolais nouveau.
Et tes lèvres ont le goût du bon vin de la vie.
Chaque verre de beaujolais nouveau
Coule, coule le long de ta peau
Comme une rivière aux reflets rouges
Qui chercherait son lit sur ton dos
Où je m'enivrais comme il faut.
une pensée pour toi
une pensée pour nous
un souvenir de toi
un souvenir de nous
un reste de tes baisers,
un reste de ton parfum,
une image de ton visage
une image de ton sourire
une pensée pour nous
une pensée pour toi
un souvenir de ton sourire,
un souvenir pour te decrire
un reste du zeste de tes levres
un reste de du gout de ton cou
une image pour ton visage
une image vague et sauvage
"Oh, et puis de toute façon les mathématiques çà ne sert à rien dans la vie !". Quel père ou mère n'a pas eu droit à cette réplique de la part de son enfant bataillant sur une application du théorème de Thalès, un polynôme ou un système d'équation ? Et la réponse, à moins d'être impliqué dans le milieu mathématiques : "Mais si çà sert, tu verras". Heureusement, la société mathématique de France et la société de mathématiques appliquées et industrielles viennent à votre secours avec un guide : L’explosion des mathématiques. Son intérêt : illustrer l’utilité des mathématiques dans divers domaines.
Le mitan possède sa Nadine de Rothschild, auteure, elle, d'un impérissable manuel de savoir-vivre dans le grand monde. Le marlou, le truand, eux, ont Albert Simonin. Car, même dans le milieu, surtout dans ce milieu où les pétards sonnent le rappel des règles de civilités, on se doit de respecter les usages. D'où ce manuel de «savoir-vivre chez les truands» écrit par l'auteur de Touchez pas au grisbi et scénariste des Tontons flingueurs.
Sale temps pour la langue française. Une semaine après Devos, c’est l’écrivain JACQUES LANZMANN qui nous tire sa révérence en ce jour de l’été 2006, à l’âge de 79 ans !
L’écrivain-parolier, complice de Jacques Dutronc pour une centaine de chansons était notamment l’auteur du très beau « Il est cinq heures, Paris s’éveille », mais également de chansons plus iconoclastes telles « Et moi, et moi, et moi… », « J’aime les filles » et « Crac-boum-hue ».
En me promenant tout récemment dans les merveilleux jardins de Sissinghurst Castle, l’envie m’est venue d’écrire un petit hommage à son dernier propriétaire, Nigel Nicolson, l’un des deux fils de la flamboyante Vita Sackville-West et Sir Harold Nicolson, tous deux écrivains, tous deux fondateurs du GROUPE DE BLOOMSBURY.
Arthur Conan Doyle est né à Edimbourg, en Ecosse, le 22 mai 1859. Sa mère, Mary Foley, était irlandaise et descendante de la fameuse famille des Percy du Northumberland, de la lignée des Plantagenêts. Son père, Charles Altamont Doyle, était un fonctionnaire peu ambitieux qui possédait néanmoins certains talents artistiques (1).
Le « cercle magique » se situe, pour les Amérindiens, au-dessus des montagnes là où le ciel rejoint les sommets. Pour les Celtes, le cercle magique est au fond des eaux de la source sacrée. Les bouddhistes le nomment « mandala ». Selon d’autres croyances, il s’agirait du cercle formé par Jésus et ses apôtres. Mais par-dessus tout, chacun porte son « cercle magique » au fond de lui-même.
A prendre avec précaution, mais à consommer sans modération.
A prendre avec précaution, sans oublier de lire la mise en garde en première page où l'auteur, lui même, en personne, ouvre, grand, le parapluie. Si vous osez poursuivre la lecture, ce sera à vos risques et périls.