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Un nouveau Projet Génome pour le cancer !

Un groupe de scientifiques dirigé par le Prix Nobel Leland Hartwell,
président du Fred Hutchinson Cancer Research Center (Washington),
et Eric Lander, directeur du Broad Institute (Massachusetts), a
présenté devant le National Cancer Institute les lignes directrices
d'un vaste projet de recherche sur le cancer...

Le lait peut modifier le génome humain

Le lait peut modifier le génome humain et, inversement, la consommation de lait peut avoir des conséquences sur le génome des vaches elles-mêmes, selon les travaux de chercheurs internationaux publiés dans la revue Nature Genetics du mois de décembre.

Le boxer superstar

Le séquençage du génome du chien va débuter en juin, avec pour race de référence le boxer, alors que le décodage du génome de l'abeille et du singe sont en voie d'achèvement, a annoncé mardi l'Institut de recherche sur le génome humain (NHGRI) américain...

Genostar ou la recherche sur le génome

Un nouvel outil de recherche sur le génome a été présenté par le consortium Genostar. Développé par l'Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria), l'Institut Pasteur et deux sociétés privées (Hybrigenics et Genome Express), il devrait permettre de décoder des séquences d'ADN.

Après SETI, United Devices et Genome @home ...

La maladie du charbon, nouvel objectif pour le calcul réparti ! Les nombreux travaux menés récemment sur la maladie du charbon ont révélé que sa toxine est constituée de trois protéines qui, prises séparément,
sont sans effet...

Le génome concentré du fugu

Il est rond, il se gonfle d’eau quand il a peur, histoire de paraître plus gros, et est un plat très apprécié au Japon. Le poisson globe, plus simplement appelé « fugu », a une drôle d’allure. Les chercheurs ont jeté leur dévolu sur ce curieux poisson et viennent de terminer le séquençage de son génome...

Onze pays s'associent pour séquencer le génome de la banane

La banane ne se résume pas au seul fruit tropical que nous consommons comme dessert. D'autres variétés, comme les bananes plantain, sont consommées cuites et servent d'aliment de base à cinq cents millions de personnes en Afrique, en Asie et en Amérique latine.



Ces fruits se classent au quatrième rang des cultures vivrières après le riz, le blé et le maïs. Mais, en termes d'amélioration génétique, la banane a "un siècle de retard comparé à des plantes comme le blé". En cent ans, les rendements de cette céréale, explique Emile Frison, virologue des plantes et directeur du Réseau international pour l'amélioration de la banane et de la banane plantain (Inibap, Montpellier), "sont passés de 1 tonne à l'hectare à 10 tonnes à l'hectare, alors que la banane n'a pas bénéficié d'une telle amélioration".